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Sceller les traités

Nous avons le plaisir de vous annoncer le colloque organisé par le Centre des Archives diplomatiques et SIGILLA :

Sceller les traités.
Relations diplomatiques & sigillaires du Moyen Âge au XIXe siècle.
14 et 15 novembre 2024

Les interventions porteront sur les pratiques de scellage des traités à travers l’histoire.

Nous vous invitons à consulter le programme joint pour plus de détails.

Une inscription (gratuite) est obligatoire pour des raisons d’organisation et de sécurité. Vous pouvez vous inscrire via ce lien : https://forms.office.com/e/QACjhBNcg9

En attendant la joie de vous retrouver à La Courneuve 

Nouvelles formations proposées par SIGILLA

La nouvelle version de la base SIGILLA est en ligne depuis cet été. Lors des derniers mois, nous avons effectué plusieurs tests sur cette nouvelle base afin de vous livrer un outil plus performant et sur lequel il est plus facile de naviguer. Grâce à vos nombreux retours sur vos expériences avec la base, nous continuons à peaufiner les derniers détails.

Avec cette nouvelle version de SIGILLA de nouvelles habitudes à la saisie se mettent en place. Quelques innovations sont plus intuitives tandis que d’autres restent mystérieuses. Afin d’éclairer vos questions sur la saisie dans la base, nous proposons prochainement deux nouvelles formations.

Ces formations sont destinées à ceux qui ont déjà suivi une formation initiale à la saisie. Le temps d’une visio-conférence, nous regarderons ensemble les nouveautés et les changements de cette nouvelle version afin de faciliter vos saisies de sceaux. La durée est estimée à 1h.

La première formation « Astuces de la saisie » est prévue surtout pour ceux qui débutent avec la saisie sur SIGILLA et qui ont des questions sur la construction d’une notice. Elle aura lieu mardi le 12 novembre à 10h. Lors de cette formation, nous verrons ensemble :

  • Comment insérer et modifier les images
  • Comment insérer et modifier les titres des sigillants
  • Comment saisir des données répétables (un sigillant avec 2 alias, un document rédigé en 2 langues, etc.)
  • Comment modifier une notice

Une deuxième formation dédiée aux contributeurs plus chevronnés « La saisie : niveau expert » sera également proposée. Cette formation aura lieu mardi le 19 novembre à 10h. Lors de cette formation nous verrons :

  • Comment perfectionner les notices (mise en page, modifications, ajout des hyperliens)
  • Comment insérer une référence bibliographique et des liens familiaux
  • Les transfixes : une procédure spéciale simplifiée
  • Comment dédoublonner / supprimer des notices

Suite aux deux formations, il y aura un temps d’échange pour vos questions.

Une inscription (gratuite) est obligatoire pour des raisons d’organisation. Veuillez vous inscrire à une ou les deux formations via ce formulaire : https://forms.office.com/e/X44f9fMu9E

Le sceau de Sigmund

  • Solenn NOLLEZ, M2, CESCM Poitiers

La flamboyante et tragique Marie Stuart, le téméraire Magellan, l’implacable Jean Calvin, ou la sublime Marie Antoinette au seuil de l’échafaud, ont un point commun. Ils doivent tous au génie de Stéphane Zweig d’avoir ancré au plus profond de nos représentations, si marquées par la grande Histoire, leur dimension sensible, humaine, et psychologique. L’amitié connue de Zweig et Freud n’est pas étrangère à cette liberté d’interprétation du fait historique. Cette formidable épaisseur psychologique n’est pas pour autant création pure. Zweig était un écrivain d’une grande rigueur, et il ne fait pas débat que, si la chair de ses écrits est inspirée, le squelette, lui, est d’une rigoureuse fiabilité. A l’instar de Lucien Febvre considérons que « toute une part, et la plus passionnante sans doute de notre travail d’historien, (…) consiste (…) dans un effort constant pour faire parler les choses muettes. »

Or, le sceau, chef d’œuvre de minutie, creuset d’identité, preuve et attestation, qui comme nous le rappelle Michel Pastoureau1 « représente et prolonge, emblématise et symbolise » celui qui l’appose, nous offre, non seulement une expérience esthétique unique, mais aussi un formidable accès à l’âme vive du sigillant2.

Dans son « Chapeau de Vermeer », Timothy Brook entre dans une description des premiers échanges mondiaux par le truchement d’éléments choisis dans les tableaux du maitre hollandais : un chapeau, une perle, un vase. Dans une composition picturale, comme dans les sceaux, les choix de matière, de couleur, la représentation de la posture, le choix des emblèmes, tout est lourd de sens pour qui s’y attarde. La sigillographie examine en outre le mode, la qualité, et la matière des attaches et de la cire. Enfin, cette science fournit un vocabulaire singulier, qui ajoute au charme de cette rencontre entre politique et psychologie, matière et poésie.

Pour s’en persuader tout à fait, deux études de cas, sceaux choisis parmi ceux conservés dans les précieux casiers de la médiathèque de Poitiers, nous permettent d’esquisser la richesse d’une telle rencontre.

Philippe IV de France dit le Bel : « La puissance et la grandeur ».3

Dans les tout premiers casiers de la médiathèque, l’acte n° C5 attire l’attention. Sa graphie impeccable, et la grande qualité de conservation de son sceau interrompent le temps. Son sujet glaçant, l’expulsion des juifs de la ville de Poitiers en 1291, achève de retenir le lecteur.

« Philipus Dei gratia francorum rex, universis presentes litteras salutem… » cette adresse, suivie de l’implacable décision, manifeste un souverain dont l’habileté politique sait se montrer féroce. Quant au sceau appendu il révèle une personnalité complexe.

Sursaut du Surmoi cher à Freud, le sceau de Philippe le Bel s’insère harmonieusement dans la lignée des monarques qui le précèdent. Un examen rapide des sceaux types de ses père et grand-père le confirme aisément :

Même posture, même tenue, même usage du lys comme meuble héraldique, la continuité est cherchée. Pourtant, il se dégage de ce dernier sceau une impression générale de force, de rigueur et de finesse. Les multiples biographies de Philippe le Bel ne manqueront pas de corroborer dans toutes leurs variables ces traits de caractère du monarque. Par quels moyens le roi et son orfèvre ont-il réussi à créer cet effet ?

Ces trois rois de France mettent tout d’abord en valeur l’onction de leur personne en faisant dépasser leur chef couronné dans la bordure qui énonce leur titre, « la tête mord sur l’exergue ». Notons néanmoins la valorisation croissante de la dignité des symboles de la royauté. La fleur de lys de Saint Louis est encore bien proche de la fleur des champs. Cet effet de nature est renforcé par la simplicité de son marche-pied et celle de son trône. L’image d’Epinal du roi rendant la justice sous son chêne n’est pas loin. Dès Philippe le Hardi, la fleur de lys est stylisée, le marche-pied est sculpté. Le trône est « orné d’avant-corps de dragons aux longs cous couverts d’écailles », ses pieds reposent « sur un tapis résillé semé de quartefeuilles ». Un socle sculpté dans la bordure, « une arcature », achève de donner de la prestance à l’ensemble. Philippe le Bel reprend à son compte ces éléments mais leur donne une ampleur supplémentaire. Des lions à l’épaisse crinière soutiennent et défendent le trône. Ce volume important trouve écho dans le généreux drapé de la tunique du roi, dalmatique vigoureusement tranchée par la verticalité du galon fleurdelisé. Comme Le Hardi, mais avec une acuité troublante, son visage de face semble affronter sans détour son observateur. Enfin, une triple bordure encadre sa legende « PHILIPPVS : DEI : GRA / CIA : FRANCORVM : REX ». Un double cercle de grènetis, et des cercles intérieurs séparés du champ par un filet achèvent d’orner et d’occuper l’espace. Le contraste avec les lignes épurées de son aieul est assez saisissant. L’occupation méthodique de tout l’espace du sceau est un résumé synthétique du mode de gouvernement de Philippe Le Bel. Du gallicanisme à l’éradication de tout ce qui semble altérer l’unité du Royaume, la puissance royale est centrale, omniprésente, et tend à l’omnipotence.

L’empreinte de l’acte C5 est réalisée dans une cire épaisse, d’un vert profond, et attachée à l’acte par des lacs de soie dont la couleur est encore singulièrement vive. Malgré le passage des siècles cette volonté de fer, mise au service du trône, et véhiculée par le seel royal, est encore d’une efficacité visuelle fascinante.

Quelques siècles et quelques casiers plus tard, une autre découverte est tout aussi parlante. Le contexte fort éloigné, et un monarque au tempérament en tout point antagoniste au précédent, nous offre une autre illustration de cet alliage entre matière et caractère.


L’évanescent Henri III :

Henri III, roi de France et de Pologne, apparaît au détour d’un acte portant création de l’office d’un second maitre jaugeur à Poitiers en 1577.

Le thème est moins grave. La cire, très friable, n’a pas gardé une empreinte identifiable, pourtant les débris semblent indiquer par leur taille, le grand sceau utilisé par Henri III entre 1575 et 1588 :

Le contraste avec l’expérience précédente est saisissant. La majesté est ici voilée, imprécise, indistincte. Les volutes du temps semblent avoir effacé les traits du roi. A l’image de celle laissée dans la mémoire collective, les traits fins semblent engloutis par la violence du contexte. Le dais royal oppresse et menace. Alain Joblin dans une récente biographie4 du monarque déplore ce que la mémoire collective garde comme image de ce souverain « incompétent, léger et inconsistant » et met en relief le drame vécu par cet homme « roi cultivé, intelligent, en quête de reconnaissance » et qui, comme le disait une chronique du temps, «étoit un bon prince, s’il eût rencontré un meilleur siècle.5 »

Dans la plupart des actes scellés de ce souverain, la cire jaunâtre est très altérée voire détruite. Les meilleures conservations ne gardent que des reliefs peu profonds, qui peinent à manifester la cohérence de l’ensemble. L’attache est souvent une bande coupée dans le bas du parchemin, une simple queue. Lorsque le flamboyant floc de soie bicolore a été choisi la cire s’est morcelée et il ne reste que des débris pantelants… Que comprendre de ce roi sans visage ? La fascination ici aussi opère, mais laisse dans son sillage une obscure inquiétude que le triste sort d’Henri III achève de rendre tragique.
Le sceau est un support de communication, un moyen de revendication, et sa dimension politique fait l’objet d’un renouveau historiographique important depuis quelques années. Une analyse rigoureuse du contexte dans lequel le sigillant se déploie, du lignage dont il se réclame, des vertus dont il veut se prévaloir est alors nécessaire.

Ici il s’agit d’une lecture qui invite à considérer ce qui échappe au sigillant et l’incarne presque malgré lui. Un éclat de l’âme saisi par l’orfèvre, et qui quelques siècles plus tard a toujours la même force. Une lecture de psychologue, une lecture de poète.

  1. Michel PASTOUREAU, « Les sceaux et la fonction sociale des images », dans L’image. Fonctions et usage des images dans l’Occident médiéval, Les Cahiers du Léopard d’Or, n° 5, Paris, 1996, p. 287. ↩︎
  2. Les termes techniques liés à la sigillographie sont notés en italique, le glossaire mentionné dans la base Sigilla en donne des définitions précises. ↩︎
  3. Syntagme tiré de Jacques KRYNEN, Philippe Le Bel : la puissance et la grandeur, Gallimard, Paris, 2022. ↩︎
  4. Alain JOBLIN, Un roi de tragédie, Ellipses, Paris, 2023. ↩︎
  5. Pierre de l’ESTOILE, Journal de Henri III, Collection des mémoires relatifs à l’histoire de France, Alexandre Petitot, Paris, 1825. ↩︎

Indisponibilité de la base SIGILLA le 15 octobre

L’institut de recherche et d’histoire des textes (IRHT), nouveau hébergeur de la base de données SIGILLA, nous a informé d’une coupure des services demain, le 15 octobre pendant la journée. Cette coupure fait partie de la maintenance des services IT. Lors de cette période, la base SIGILLA sera indisponible pour la consultation aussi bien que pour la saisie.

La base SIGILLA sera à nouveau disponible le lendemain.

Nous vous remercions pour votre compréhension.

L’héraldique au XIIIe siècle et l’exposition « Cathares »

Depuis cet avril dernier, le Musée Saint-Raymond de Toulouse accueille l’exposition temporaire « Cathares. Toulouse dans la croisade. » Avec près de 300 objet exposés, c’est une exposition inédite qui “présente les événements et rebondissements qui ont émaillé la croisade contre les Albigeois, mais aussi la question de l’hérésie dite « cathare ». “

Une partie de cette histoire se raconte avec les armoiries et l’héraldique à l’époque. Pour souligner l’importance de cette héraldique, le musée vient de publier une vidéo ludique qui nous explique les bases et nous permet de jeter un coup d’œil dans les coulisses de l’exposition. Regardez la vidéo ici !

Pour plus d’informations sur l’exposition elle-même, rendez-vous sur le site du Musée Saint-Raymond.

Colloque : Sceller les traités

Avec étroite collaboration avec le Centre des archives diplomatiques à La Courneuve, SIGILLA organise un colloque ce novembre prochain. Réservez donc déjà les dates de 14 et 15 novembre pour deux journées dédiées aux relations diplomatiques et sigillaires du Moyen Âge au XIXe siècle.

L’inscription est obligatoire mais gratuite. Plus d’informations à venir !

Un chien briseur de queues

  • Marie THOUVENOT, Archives départementales du Morbihan

Vrillettes, poissons d’argent ou encore rongeurs : les professionnels et les passionnés des archives se méfient souvent des petites bêtes. Mais de plus gros animaux sont parfois à l’origine d’altérations du patrimoine écrit et sigillaire.

Le fonds du chapitre cathédral de Vannes, conservé aux Archives départementales du Morbihan, donne ainsi un exemple d’incident canin insolite survenu au XIVe siècle. Le 31 mars 1334, Barthélemy de Mareil, recteur de Plougoumelen, fonde une chapellenie en l’honneur de saint Barthélemy et de saint Michel en l’église cathédrale de Vannes. Jean Le Parisy, évêque de Vannes, donne son approbation et appose son sceau au bas de la décision testamentaire du recteur au côté des sceaux des chanoines Sylvestre Le Parisy et Henri Le Camus. Plus de cinquante ans plus tard, le 23 janvier 1387 n. st, un chien vient à jouer avec le document. Coups de pattes, coups de dents, course-poursuite entre l’animal et son maître ? Les archives ne livrent pas les détails de la scène mais en consignent le résultat : le chien déchire les queues de parchemin sur lesquelles étaient apposés les sceaux.

Deux traces restent aujourd’hui de cet évènement : des coutures bleues au bas de la décision testamentaire de 1334, laissant deviner les attaches des sceaux aujourd’hui disparus ; mais aussi une déclaration de l’official de Vannes datée du jour de l’incident[1]. Dans cette dernière, l’official décrit les faits, déclare avoir vu l’acte intact le jour-même avant sa dégradation et prescrit de lui attribuer la même valeur que si les sceaux étaient encore présents. L’authenticité est donc sauve. Mais le regret reste grand puisqu’aucune empreinte de Jean Le Parisy, Sylvestre Le Parisy et Henri Le Camus ne semble connue à ce jour[2].

Déclaration de l’official de Vannes (23 janvier 1387 n. st.). Archives départementales du Morbihan, 56 G 1.

Ne tenons pas rigueur au chien briseur de queues. Mais continuons à veiller au bon conditionnement des sceaux et réjouissons-nous de les voir conservés dans des magasins d’archives loin de nos animaux domestiques !


[1] Cf. Archives départementales du Morbihan, 56 G 1.

[2] L’inventaire sommaire du fonds du chapitre cathédral de Vannes mentionne plusieurs documents « jadis scellés » par Jean Le Parisy, Sylvestre Le Parisy et Henri Le Camus, désormais sans sceau. Sur l’un de ces documents – une collation de chapellenie scellée en 1332 n. st. par Sylvestre Le Parisy et Henri Le Camus (cf. Archives départementales du Morbihan, 56 G 1) – quelques fragments d’un des trois sceaux de l’acte subsistent sans qu’il soit possible de déterminer avec certitude l’identité du sigillant. Aucune autre empreinte de l’évêque et des deux chanoines n’est mentionnée dans la collection de sceaux inventoriés par Louis Douët d’Arcq ou dans la thèse de Martine Fabre sur les sceaux bretons (cf. Fabre, Martine, Héraldique médiévale bretonne. Images personnelles (vers 1350-1500). Armoriaux, sceaux, tombeaux : étude et corpus, Paris, Septentrion presses universitaires, 1993, 2 vol.).

50 000 empreintes dans SIGILLA !

Vendredi dernier, le 13 septembre, était une journée très positive – contrairement à ce qu’on pourrait penser. C’était le jour où la base SIGILLA a accueilli sa 50 000 empreinte !

C’était cette empreinte de l’Officialité de Strasbourg, saisie par un collaborateur en Alsace, qui a fait franchir le seuil de 50 000 !

Nous remercions chaleureusement toutes les contributions de chacune et de chacun ! Sans votre engagement et votre motivation, il n’aurait été jamais possible d’accomplir un tel défi. Grâce à vous, le paysage sigillaire de la France est de plus en plus connu. Un grand MERCI et continuez à suivre le progrès de la base SIGILLA.

Quel sera le prochain jalon ???

Colloque Gratia Dei Regina

Marquez bien vos agendas ! Les 21 et 22 octobre prochains auront lieu le colloque Gratia Dei Regina dans la région parisienne.

Ce colloque international est le dernier volet d’un projet d’envergure, le Programme Pessoa (2023-2024), favorisant la coopération scientifique entre France et Portugal. Le thème choisi est celui des actes écrits et du mécénat des reines, un mécénat qui se déploie dans de multiples domaines, religieux, artistique et littéraire. En parallèle, sera présentée la base de données créée en collaboration avec l’IRHT et les Archives nationales de France, permettant la numérisation et l’édition critique des actes écrits des souveraines. Femme de pouvoir, la reine délivre des actes écrits, scellés de son grand sceau, manière d’exercer et d’attester son autorité, notamment dans les domaines qui entrent traditionnellement dans son champ d’action. « Dame de cœur », elle s’investit dans des fondations religieuses et charitables (hôpitaux, collèges…) et déploie un mécénat funéraire particulièrement actif. Elles accumulèrent également un Trésor personnel, composé, entre autres, de pièces orfévrées d’or et d’argent doré, serties de pierres précieuses, qui participait de leur pouvoir. À travers l’examen de ces actes et de ces objets, l’objectif est de réévaluer le rôle des femmes de pouvoir dans le fonctionnement de l’État monarchique au Moyen Âge.

Consultez le programme ci-dessous :

Indisponibilité de la base SIGILLA le 10 septembre au matin

L’institut de recherche et d’histoire des textes (IRHT), nouveau hébergeur de la base de données SIGILLA, nous a informé d’une coupure des services demain, le 10 septembre de 8h à 13h. Cette coupure fait partie d’une maintenance annuelle des services IT. Lors de cette période, la base SIGILLA sera indisponible pour la consultation aussi bien que pour la saisie.

La base SIGILLA sera à nouveau disponible à partir de 13h.

Nous vous remercions pour votre compréhension.